Calendar Girl Octobre, Audrey Carlan, édition Hugo Roman

Résumé : Mia est de retour à Malibu, la ville où elle a choisi de vivre. Sa dette est payée et son ex n’est plus une menace. Finie la vie d’escort. Son nouveau job ? Bosser à la télévision pour le Docteur Hoffman, célèbre médecin qui anime une émission. Il voudrait confier une rubrique à Mia : Vivre en beauté. Dans cette ville où tout est faux où la plupart des filles sont des poupées Barbie siliconées, Mia va devoir trouver de belles personnes, des gens simples mais qui, par de modestes actions, rendent le monde autour d’eux plus agréable. En réalité elle trouvera bien plus, pour elle et pour l’homme qu’elle aime.

Service presse Hugo Roman

Mon avis : Dixième mois des aventures de Mia et on continue dans le changement de direction qu'avait amorcé l'auteure cet été.
Maintenant que la dette de Mia a été remboursée elle n'est plus contrainte de continuer son métier d'escort et choisi même de se poser à Malibu avec l'homme qu'elle aime. C'est aussi pour elle, un début de carrière qui l'attend sur les plateaux de télévision californienne. Mais c'est aussi une période difficile qu'elle doit passer au côté de Wes, à peine sorti d'un violent traumatisme.

Après lecture de ce tome, j'avoue être un peu mitigée. D'un côté, j'aime beaucoup que l'histoire est un fil conducteur au long de l'année et que cela ne se résume pas en une suite de conquête pour la jeune femme. Néanmoins, dans ce tome on suit tranquillement la vie de Mia sans découvrir de réelles nouveautés et sans que cela fasse avancer l'histoire. Je ne pourrais pas dire que je me suis ennuyée puisque le roman est comme toujours assez court et du coup on le lit sans soucis, mais je suis resté un peu sur ma faim. D'autant plus que j'aimais vraiment retrouver les anciens personnages ainsi que les « leçons » que Mia tirait de chaque nouveau contrat.

Il ne reste maintenant plus que deux mois aux côtés de cette jeune femme et je reste curieuse de savoir comment tout cela va se terminer.

Citation : J'ai passé dix mois à faire ce qu'on me disait (…) à prétendre être quelqu'un que je n'étais pas et j'en ai assez de suivre les autres. Dorénavant, mon destin est entre mes mains.